mercredi 4 mai 2011

Graffiti

Des dessins d'enfants immortalisés par Helen Levitt sur le bitume de New-York aux graffitis des murs parisiens de Brassaï, l'espace public devient le témoin d'un art éphémère et pourtant intemporel.






© Helen Levitt

On reste dans le monde de l'enfance (même si on s'en éloigne parfois) avec Brassaï qui répertoria nombre de ces graffitis au cours de ses promenades à travers Paris. Une compilation que l'on retrouve dans un livre, Graffiti.



" Miro devant un graffiti "


Graffiti de la série V, Animaux, chimère

Plus proche de nous, les tags et les graffitis qui s'inscrivent dans la culture urbaine nous invitent à penser l'art sous une autre forme. Le medium a changé mais l'intention est certainement la même...s'exprimer au delà de toute contrainte ! C'est ce qu'ont réussi à faire des artistes à l'ancienne Vinaigrerie Dessaux, à quelques pas de la Loire... En 2010, une exposition " A ciel ouvert " s' inscrivait dans une démarche culturelle mettant à l'honneur le street art un peu partout dans Orléans.
Aujourd'hui, sur ce qui sera demain le futur centre d'art contemporain, subsistent les traces d'une expo qui préfigurent peut être une autre façon de penser l'art urbain .




© Je pose un regard

  

1 commentaire:

  1. Ah ! Le Graffiti, cela me rappelle quelques très bons souvenirs !!

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